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amanouz.tv

1 août 2009

BIENVENUE DANS L'ESPACE DE LA TRIBU AMANOUZ QUI VA DEMARER PROCHAINEMENT

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AZUL AITMA DISTMA MARHBABIKOM GHDAR TGHMARTE NAIT OMANOUZ

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1 août 2009

azul aitma distma ait omannouz inagh tlam,bienvenue à toutes et tous

Bienvenue sur Amanouz.Org

 

Chers visiteurs,

nous avons le grand plaisir de vous accueillir sur votre site: www.amanouz.org Ce site ne demande qu'à s'améliorer, ainsi n'hésitez pas à faire tous vos commentaires ou nous donner vos conseils, critiques et suggestions qui pourraient nous aider à satisfaire tous les goûts Finalement un grand merci d'avance à tous ceux qui veulent participer de loin et de prés a l'enrichissement du ce site :
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Bonne navigation sur votre site : www.amanouz.org
les administrateurs: 

- anir elmanouzi
- yahia karim

Affiche_

1 août 2009

تعريف قبيلة أمانوز

قبيلة أمانوز
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قبيلة سوسية من المجموعة القبلية المنضوية تحت اسم أيت علي، وهي غير أيت علي الايلالنية، وتحدها شرقا قبيلة تاسريرت وقبيلة إيكونان وقبيلة أيت بونوح، وشمالا قبيلة أملن، وغربا قبيلة إيغشان وقبيلة أيت اوسعيد، وجنوبا قبيلة إيسموكن

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Carte_Amanouz_01

31 juillet 2009

héros sans gloire:houcine elmanouzi

Né en 1943,  houcine elmanouzi descend
d'une des plus célèbres
familles de résistants


Appel d'Amal : Liberté pour Houcine El MANOUZI



le 29 octobre 1972, que le jeune Houcine, âgé de 29 ans, mécanicien d’avion, militant syndicaliste, et membre de l’Union Nationale des Forces Populaires a été enlevé de la capitale Tunisienne par les services de sécurité pour être transféré au Maroc dans le coffre d’une voiture diplomatique.

Il a fallu près de trois décennies de lutte acharnée et risquée menée par sa famille et ses amis pour que l’Etat Marocain consente à reconnaître la détention au secret de Houcine El Manouzi. Malheureusement cette reconnaissance officielle de faits avérés et vérifiés n’est pas allée au-delà en ce jour de commémoration du 35e anniversaire de la date de son enlèvement.

Le sort du détenu-disparu Houcine El Manouzi est toujours inconnu à ce jour.

Même l’Instance Equité et Réconciliation (IER) n’a pas été au-delà dans le cadre de ses compétences non judiciaires en matière d’investigations. Certains témoins cités par la famille n’ont jamais été auditionnés. L’un d’eux, qui avait joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Tunis, est décédé en ce début de l’année 2007. De même que des faits qui engagent l’implication directe de responsables de la DGED et de la gendarmerie royale dans la disparition de Houcine n’ont pas été restitués dans le rapport final de l’IER (30 novembre 2005). L’Etat Marocain continue d’afficher une volonté de parachever le règlement équitable de la question des violations passées des droits de l’Homme. Mais les recommandations de l’IER pour la poursuite des investigations sont restées lettre morte puisqu’aucune avancée significative n’a été enregistrée dans l’élucidation du sort de Houcine El Manouzi.

31 juillet 2009

HOMMAGE A UNE FEMME EXCEPTIONNELLE: KHADIJA CHAOU EL MANOUZI

 

   
 

 

    Khadija Chaou El Manouzi, 87 ans  

 

    Née en 1922 à Amanouz (Région de Tafraout).  

 

    Lieu de résidence : Casablanca  

 

   
    A l'âge de 12 ans, Khadija avait perdu son père, Mohamed Chaou, mort sous les balles de l'armée d’occupation française lors de la fameuse bataille d'ait Abdellah en 1934.
 

 

   
    Son mari Hadj Ali ELMANOUZI, âgé aujourd'hui de 96 ans, est l'un des premiers membres de la résistance à Casablanca. Son logement dans l'ancienne médina était l’un des lieux secrets où se rencontraient les nationalistes. A chaque réunion, la mère khadija devait s'isoler, avec sa fille Malika, dans une cabane non couverte et dans le froid glacial. La petite, à peine âgée de 2 ans, est tombée gravement malade et elle est décédée.
 

 

   
    En 1954, le mari Ali, ses frères et le beau-père sont arrêtés par la police française pour résistance à l'occupation. Khadija devait faire preuve d'un grand courage pour affronter le monde extérieur, et apporter un soutien matériel et moral aux détenus. Ses voisines arabes et juives témoignent encore aujourd’hui de la bravoure de cette femme, « khlija la berbère- analphabète ».
 

 

   
    Septembre 1970, et de nouveau, le mari Hadj Ali va être enlevé, et cette fois ci avec 17 membres de la famille. Khadija ne sera pas épargnée, elle va découvrir le centre secret de détention « derb Moulay Chérif ». On reproche à la famille El Manouzi son engagement contre le pouvoir absolu et leur incitation à la révolte populaire. Belkacem Moujahid El Manouzi n’en sortira pas indemne et va mourir sous la torture.
 

 

   
    Houcine, le fils aîné, qui a pu échapper à la vague d’arrestations, va être enlevé de Tunis le 29 octobre 1970 et acheminé vers le Maroc.
 

 

   
 

 

    Pour la mère Khadija, il lui fallait contenir ses larmes et ses souffrance et s’armer de COURAGE, pour faire face à l’emprisonnement du mari et des proches, aux menaces des tortionnaires, au silence complice, à la survie et à l’éducation des enfants, et mener le combat pour le droit à la vie.  

 

   
    Pendant des années, les responsables Marocains vont nier l’enlèvement de Houcine El Manouzi. Ce n'est qu'en 1998 que son nom va figurer pour la première fois sur une liste officielle de personnes victimes de disparition forcée.
 

 

   
    Khadija Chaou El Manouzi continue le combat pour la vérité sur la disparition de son fils, Houcine, mécanicien d’avion, ancien employé de la RAM, syndicaliste et militant politique.
 

 

   
 

 

    Famille El Manouzi 738 rue Boukraa Casablanca  

 

    Famille.elmanouzi@gmail.com  

 

   
 

 

 

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31 juillet 2009

héros sans gloire:la famille elmanouzi:une brave famille de la résistane d'amanouz

Houcine Manouzi a vu le jour à Tafraout en 1943. Il descend d’une famille de résistants, l’une des plus célèbres à travers tout le pays. Dans les années 60, le jeune Houcine est un brillant syndicaliste qui milite au sein de l’UMT, le premier syndicat du pays à l’époque. Politiquement, Manouzi est membre de l’UNFP, très proche de l’aile dure incarnée par Mehdi Ben Barka, et il figure parmi les fondateurs de la chabiba du parti. Employé à la RAM en tant que mécanicien d’avion, il est renvoyé pour ses activités politiques et décide, en 1966, d’émigrer en Europe. Il gagne alors en notoriété puisqu’il devient l’un des premiers encadreurs des MRE, surtout en Belgique, pays à forte communauté marocaine. Son retour au pays en 1968 ne l’empêchera pas d’émigrer de nouveau, cette fois en 1970, après la vague d’enlèvements qui a frappé les rangs de l’UNFP. Pour les services marocains, Houcine Manouzi, fiché et suivi depuis sa tendre jeunesse (à cause de son patronyme), est un élément subversif qu’il convient de neutraliser au plus vite. Outre son dynamisme, il est connu pour avoir tenté, en vain, de garder la filiation naturelle entre l’UNFP et l’UMT. Cette filiation faisait la force du parti de Ben Barka et, l’histoire l’a confirmé par la suite, l’opposition n’a été réellement mise à genoux qu’à partir du moment où le syndicat de Mahjoub Benseddik a effectivement "divorcé" avec l’UNFP.
En 1971, le Maroc connaît deux événements majeurs : le coup d’État manqué de Skhirat et, pratiquement dans le même temps, le procès politique de Marrakech. Dans le coup d’État, Houcine Manouzi perd un oncle, commandant d’armée, exécuté pour des raisons obscures trois jours après la tuerie de Skhirat. À Marrakech, Houcine est tout simplement condamné à mort - par contumace - pour atteinte à la sûreté de l’État. Notons au passage que, quelques mois avant le procès de Marrakech, pas moins de 18 membres de la famille Manouzi ont été enlevés, à commencer par le père, un ami de longue date de Fqih Basri. Après des séjours à Derb Moulay Chérif, ou dans l’un des fameux PF (Points fixes, centres de torture et de détention secrète à la disposition de la police politique), 11 membres du clan Manouzi sont relâchés et 7 passent effectivement en jugement au procès de Marrakech.
Houcine Manouzi est alors un opposant en exil, qui fait l’objet d’une condamnation à mort dans son pays. Il n’en reste pas moins actif, à travers l’Europe et le Maghreb, essentiellement dans les milieux des MRE. En 1972, ses activités clandestines le mènent à Tunis. L’un de ses amis marocains, rencontré en Libye, est un policier déguisé en opposant politique. C’est lui qui "vend" Houcine aux autorités marocaines. Étrangement, c’est le 29 octobre 1972, jour du 7e anniversaire de l’enlèvement de Ben Barka, que Houcine Manouzi sera à son tour enlevé à Tunis. Drogué et "saucissonné", Houcine est plongé dans le coffre d’une voiture diplomatique marocaine et convoyé par voie terrestre de Tunis jusqu’à Rabat, avec l’aide des réseaux de contrebande communs à l’Algérie et au Maroc. Arrivé à Oujda, Houcine, comme il le rapportera plus tard à l’un de ses co-détenus, se réveille à peine de son anesthésie générale quand il entend l’un de ses ravisseurs répondre au talkie-walkie : "Prière de transmettre : Manouzi s’est infiltré clandestinement au Maroc, on l’a arrêté"… À l’époque, détail important, la police marocaine est contrôlée directement par Ahmed Dlimi et, de loin, par le déjà célèbre Driss Basri, qui officie au cabinet du ministre de l’Intérieur, Benhima.
Officiellement, Manouzi a disparu dans la nature depuis la nuit du 29 octobre 1972. En réalité, il fait la tournée des multiples PF dont celui, fameux, de Dar El Mokri, communément appelé PF 2. Sa vie est faite d’interrogatoires poussés et de séances de torture. Deux témoins rendent compte, épisodiquement, du sort de Houcine à sa famille. En 1975, les nouvelles s’arrêtent et la famille commence à faire son deuil. Jusqu’à ce jour du 13 juillet 1975 où, à la surprise générale, treize policiers, dont une femme, font le siège du domicile des Manouzi : "Houcine s’était évadé, bien que son nom n’ait jamais été évoqué officiellement, se souvient aujourd’hui son frère Abdelkrim, médecin à Casablanca. La famille a appris la nouvelle dans un mélange de joie et de drame. Houcine évadé, c’était la preuve qu’il était vivant…". Tant que les policiers faisaient le siège de la demeure familiale, les Manouzi ont la preuve que leur fils, au moins, est en vie. Un jour, le 20 juillet, les policiers disparaissent. Il n’y avait aucun doute possible : Houcine a été arrêté la veille. Pourtant, 28 ans après, en 2003, quand la famille reçoit la photocopie d’un certificat de décès établi au nom du disparu, elle reste perplexe : Houcine serait mort, d’après ce document non signé, le 17 juillet, soit deux jours avant son arrestation !
Manouzi est-il réellement mort ? "En 1994, se souvient un membre de la famille, la DST nous a informé que Houcine était encore vivant et qu’on pouvait le récupérer si on évite de faire des déclarations dans la presse". La promesse est restée sans lendemain. Depuis 1998, les échos sur la "survie" éventuelle du disparu sont devenus rares, pour ne pas dire inexistants. "Pour nous, conclut la famille Manouzi, il est vivant tant que son corps n’a pas été restitué et son identité confirmée par des preuves scientifiques".

31 juillet 2009

Héros sans gloire d'amanouz : said bounailat

Son nom, Mohamed Ajjar, n’évoque rien de particulier. Son surnom, Saïd Bounaïlat, à peine un peu plus. Il gagnerait pourtant à être plus connu. A près de 90 ans (il est né en 1920), il est probablement l’un des derniers grands résistants encore en vie. Saïd Bounaïlat a successivement résisté à l’hégémonie française et aux abus makhzéniens. Il a fait de la prison sous le protectorat et sous Hassan II.

Plusieurs fois condamné à mort, ce natif d'amanouz( Tafraout), qui écoule encore des jours heureux dans la région de Béni Mellal, a eu plusieurs vies. “Il a été champion de boxe, c’est un dur à cuire”, résume l’un de ses anciens compagnons, lui aussi à la retraite. La vie de Saïd Bounaïlat, ami de Ben Bella et Boumediene, sera enfin éditée en livre. L’exploit (c’en est un puisque l’homme, méfiant au possible, refuse de parler aux journalistes et aux “inconnus”), on le doit à un ancien blanquiste, proche de Fqih Basri et de la branche armée de l’UNFP, écrivain à ses heures : Mohamed Louma, qui a déjà portraitisé à sa manière des figures de l’histoire politique marocaine comme Cheikh El Arab ou Abdellah Ibrahim. La confession de Bounaïlat, recueillie par Louma, devrait être éditée avant la fin 2009. Le livre lèvera le voile sur le vrai visage de l’ancienne armée de libération, loin des clichés et des raccourcis de l’histoire officielle. S.A.
31 juillet 2009

أعلام قبيـلة أمـانـوز

فيما يلي لائحة أعلام هذه القبيلة منقولة من كتاب
رجالات العلم العربي في سوس
للعلامة المختار السوسي
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القرن التاسع الهجري

عبدالجبار اللكوسي المنوزي
من أسرة بكرية تيمية، صالح كبير القدر، من أحفاده آل امحمد بن إبراهيم التمنارتي، توفي في أواخر القرن 9 الهجري
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القرن العاشر الهجري

إبراهيم بن عمرو بن عبدالجبار : حفيد عبدالجبار المتقدم، دفين إداوزدوت
امحمد بن إبراهيم بن عمرو بن عبدالجبار : ابنه، نزيل تمنارت القاضي العلامة المؤلف أقران سيدي احمد احمد بن موسى توفي سنة 971هـ
إبراهيم بن امحمد بن إبراهيم بن عمرو بن عبدالجبار : ابنه الأول شارح مؤلف ابن زكري توفي سنة 971هـ
محمد بن امحمد بن إبراهيم بن عمرو بن عبدالجبار : ابنه الثاني توفي سنة 976هـ
احمد بن داود المانوزي
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القرن 11 الهجري

الحسن بن بلقاسم اللكوسي المانوزي
من اللكوسيين البكريين وما آل امحمد بن ابراهيم الشيخ إلا فرقة منهم، عالم أديب تقي توفي سنة 1005هـ
محمد بن الحسن بن بلقاسم اللكوسي المانوزي
العلامة البارع في المعارف والأدب وصوغ الشعر السلس المحكم، وفي الترسل العلمي الأخوي أو البرهاني، أحد شعراء إيليغ، توفي سنة 1048هـ
يحيى بن امحمد بن الحسن اللكوسي : لعله ابن من قبله، عالم كبير مؤلف توفي بعد 1018هـ
عبدالعزيز بن الحسن بن بلقاسم اللكوسي المانوزي : أخ الأول، فقيه مفتي جيد بارز بين معاصريه
عبدالله بن عبدالعزيز بن الحسن بن بلقاسم اللكوسي المانوزي : ابنه، علامة كبير مفتي، تولي قضاء الجماعة في إيليغ وفيه ميع توفي سنة 1050هـ
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عبدالله بن محمد الحضيكي
جد العلامة الحضيكي من الاسرة البكرية التيمية، وقد أنجب تلك الاسرة العالمة البارعة، عالم له ذكر وشهرة، توفي بعد 1050هـ
وبظهر أن هذه الاسرة البكرية إن صح أنها بكرية ليست من اللكوسيين، لأن أصل الحضيكيين من سموكن – يبحث في ذلك – كلام المختار السوسي
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القرن 12 الهجري

محمد بن ابي القاسم المانوزي : عالم مشارك فاضل صوفي توفي سنة 1164هـ
امحمد بن عبدالله بن عبدالعزيز اللكوسي المانوزي : نزيل تامانارت، من الاسرة اللكوسية البكرية المذكور جماعة من أفرادها، عالم كبير متضلع جال في الاخذ من الافذاذ كالمرغيتي واعتنى باقتناص الفوائد توفي سنة 1107هـ
احمد بن الحاج الانسيسي المانوزي : عالم له آثار تدل على براعته توفي بعد 1190هـ
امحمد بن احمد الحضيكي : البكري النسب، المنجب أسرة علمية فائقة، علامة كبير متفنن مدرس مخرج مؤلف مكثر، وشيخ صوفي مربي، رحل الى الكبار فأخذ واستجاز فأحيا الله به ما أحيا توفي سنة 1189هـ
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القرن 13 الهجري

احمد بن امحمد بن احمد ولد الشيخ الحضيكي المانوزي : من الاسرة البكرية المباركة العالمة الصالحة، علامة جليل مدرس مخرج طبيب ماهر، قيم على فن الطب بالتدريس للكتب التي ما نحسب أنه درست قبله بإعصار مع إتقان لغير ذلك، فهو من المفاخر المغربية
عبدالله بن امحمد بن احمد ولد الشيخ الحضيكي المانوزي : أخوه الأول، فقيه بارع مطلع قاض مدرس مؤلف مثل الرهوني في مناقشة بناني في حاشيته الزرقانية، مع يد حديثية طولى
الحسن بن امحمد بن احمد ولد الشيخ الحضيكي المانوزي : أخوه الثاني، له يد علمية يذكر بها وإن لم يدرك أخويه
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القرن 14 الهجري
محمد بن عبدالله ابن الشيخ الحضيكي
محمد بن محمد : من الحضيكيين توفي بعد 1310هـ
الحسن بن محمد البشير ابن الشيخ
محمد بن الحنفي : ابن عم هؤلاء
محمد بن محمد : من الحضيكيين توفي نحو 1340هـ
علي بن احمد الازربـيـي المانوزيموسى الاوكي : نزيل أمانوز




معالم قبيلــة أمانــوز

11 juillet 2009

Ahwach n tferkhine (asdaw)


ASDAW n´tferkhine

29 avril 2009

Carte___Amanouz

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